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Publié il y a 23 jours
Entre Grand Paris Sud et les JO, une belle histoire se dessine ! Déjà labellisée Terre de Jeux 2024, et nommée Centre de Préparation aux Jeux Olympiques et Paralympiques, notre agglomération se félicite de l’arrivée du breakdance parmi les épreuves officielles de cet évènement mondial. Présentation de la discipline et témoignage d’un président de club.
C’est une petite révolution dans le monde de la danse, qui voit le breakdance propulsé au statut de sport olympique, ce qui présage une belle opportunité pour nos athlètes d’espérer une qualification pour Paris 2024.
Né à New-York dans les années 1970, le « breakdance », appelé aussi « break » ou « breaking », est un style de danse issu du hip hop qui mixe des mouvements de gymnastique avec des pas de danse au rythme d’une chorégraphie très technique. Ces mouvements acrobatiques allient passages de danse exécutés debout et au sol. En compétition, elles se pratiquent à l’occasion de « battles » haletantes, lors desquelles s'affrontent successivement plusieurs « Bboys » ou « Bgirls ». En individuel ou par équipes de « breakeurs », les sportifs improvisent une performance face à un jury, au rythme de musiques inconnues à l’avance.
En février 2019, le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024, ou COJO, a proposé l'introduction de quatre nouvelles disciplines en 2024, dont le « breakdance ». L’idée, validée par le CIO avec, au programme, deux épreuves codées de « Battles », une féminine et une masculine, a été validée en décembre 2020 par le comité exécutif.
Tony Estanguet, président du COJO, a déclaré récemment en conférence de presse que les sports additionnels proposés répondaient au souhait des organisateurs de se « connecter aux sports qui cartonnent partout dans le monde pour apporter aux Jeux une dimension plus urbaine, plus sport de nature, plus artistique » Ainsi après l’arrivée de l’escalade, du skateboard et du surf, le « breaking » rejoindra la compétition olympique.
Paolo est un jeune lieusaintais de 27 ans qui a créé son club en 2011 : les Flow Killerz Crew. Actuellement juge international, professeur et organisateur de grands événements autour du break, le danseur cartonne dans tout ce qu’il fait. Alors, pourquoi ne pas briller aux JO Paris 2024 ? Pour cela, il compte sur l'un de ses membres phares : Maxime Demeude, alias Maxou FK, qui, à 12 ans, est déjà sur la liste du ministère des sports en tant qu’athlète espoir de haut niveau. Le jeune homme, après avoir commencé à Alençon avec l’association AMH, a intégré les Flow Killerz avant d'être titré champion de France en 2020. En 5 ans, Maxime aura trouvé son style et se sera fait une place parmi les plus grands. Il participera même au championnat du monde de break à Bercy en septembre prochain. Son professeur, quant à lui, est très enthousiaste à l’idée de voir du breakdance aux JO : « grâce à la médiatisation, la communication va être décuplée et le break va être crédibilisé aux yeux du grand public, les danseurs vont pouvoir ainsi se professionnaliser ». Le lien ne va pas que dans un sens pour Paolo Pambou : du break au JO, c’est aussi l’occasion de faire souffler un vent de nouveauté sur une institution. Quand le président du club lieusaintais réfléchit à l’organisation, il imagine déjà la battle avec un DJ, un speaker, un jury composé de personnes de renom dans le milieu et le public. « Je nous considère comme des gymnastes qui dansent », s’exclame-t-il même ! Nous souhaitons en tout cas à sa discipline de devenir aussi incontournable que la gymnastique qui figure au programme des JO depuis la première édition.
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